
« L'internet joue un rôle social bénéfique dans un monde construit autour de “l'individualisme réseaucentrique” comme l'explique très bien Jean-Pierre Cloutier, c'est-à-dire un réseau construit autour de chacun, dont on sollicite les personnes ou les ressources différemment selon les situations. » (http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/internet/d/la-force-des-liens-de-linternet-et-son-role-social_8185/)
On observe actuellement une tendance à s’inscrire à plusieurs réseaux sociaux sur Internet même si le plus souvent, il n’y en a un que l’on utilise plus que les autres.
Ainsi, dans chaque pays, il y a un réseau social de référence, sur lequel il est probable de trouver ses amis. Outre les fameux Facebook ouTwitter, Cosenza (http://www.vincos.it/) a recensé les autres nombreux réseaux sociaux.

Alors doit-on voir dans la géolocalisation de son boulanger habituel, la «force du local» permettant d’optimiser son parcours matinal pour aller acheter ses viennoiseries préférées ou son pain quotidien ? Je ne résiste pas à un certain « réseau centrisme » humoristique local avec le sketch de Mado la niçoise sur le «GPS» :
Peut-être faut-il considérer l’apport de l’internet social autrement que du point de vue de l’individu comme «commodité qu'on s'échange via les termes de «visites» ou de «taux de trafic» ? (http://www.nonfiction.fr/article-369-par_le_peuple_et_pour_le_peuple_mais_pas_sans_letat.htm)
En tout cas, les jeunes générations (http://www.numerama.com/magazine/14735-internet-le-social-et-le-sexe-principales-preoccupations-des-enfants.html) ne s’y trompent pas en matière d’internet comme le montrent leurs requêtes qui traduisent un intérêt marqué pour le sexe et le web social.
Il est vrai que pour pratiquer le premier, le local en face à face est préférable mais pour le second, c’est vrai aussi qu’en passant par le web, on finit pas se retrouver dans le réel.
Mais qui en doutait ? Sûrement pas le président de Mozilla Europe qui est un auvergnat comme le rappelle un technogeek Laurent Maisonnave en provenance de Montréal (Canada) : « Auvergne : Un volcan s’éteint, une communauté Web s’éveille ».
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