Rectificatif opportun de Séguéla à propos d’internet : « «je n'ai pas dit ça, j'ai dit que le Net était la plus belle invention du monde mais que c'était aussi la pire des saloperies, explique-t-il. Mais que si on l'aimait comme je l'aime, et je peux que l'aimer, c'est 25% de notre business, il fallait le préserver de lui-même.» Danger pour lui, le web où l'on peut tout dire, où tous les propos sont relayés par les réseaux... il faut se modérer, «comme a su le faire la pub.» Bref, pour le publicitaire, un bon web est un web policé, propre et aimable. » La suite ici : http://www.marianne2.fr/Seguela-je-ne-peux-qu-aimer-le-web,-c-est-25-de-mon-business!_a183186.html
C’est vrai le « papy de la com » cultive la « pub tranquille avec force» pour capitaliser sur sa retraite.
Pour lui, le succès « on line » c’est quand « ça buzze et ça roule… pour lui» alors pour rester tendance, il flingue le lipdud des jeunes de l’UMP, oui, en plus, ils ont été filmés sans Rolex au risque de laisser croire qu’ils vont rater leur vie… : http://www.europe1.fr/Info/Actualite-Politique/Institutions/Seguela-si-a-50-ans-on-n-a-pas-une-Rolex-on-a-rate-sa-vie/%28gid%29/203765
Non c’est une erreur de communication ! Comme le dit notre spécialiste : « «quel dommage que ça ait été mal fait, quel dommage que ce soit filmé n'importe comment, quel dommage que ce soit monté n'importe comment, quel dommage que ce soit joué n'importe comment...»
Il faut le croire Séguéla, il sait reconnaître ses torts : "J'ai dit une immense connerie" (http://www.ozap.com/actu/seguela-rolex-excuses-connerie-carriere-video/259492)
Internet est en tout cas un révélateur de « talent [et] Quel talent ! Une petite citation pour conclure : "Jacques Séguéla est-il un con ? De deux choses l'une : ou bien Jacques Séguéla est un con, et ça m'étonnerait quand même un peu ; ou bien Jacques Séguéla n'est pas un con, et ça m'étonnerait quand même beaucoup !" [Pierre Desproges] (Source : http://www.lesmotsontunsens.com/seguela-rolex-rate-sa-vie-50-ans-video-3391)
Alors quand on buzze… ? Ça rapporte une chanson façon Brassens : « quand on est con, on est con » :
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