En résumé des préconisations, il faut retenir la nécessité de plus de TICE avec à la clé la perspective de créer plus d’emplois (50 000 emplois selon les estimations).
Parmi les moyens à mettre en œuvre, il y a un «plan ordinateur» personnel pour les lycéens avec un prêt à taux zéro, la création et le développement des outils numériques, la création d’espaces virtuels permettant le «travail collaboratif», la «formation» et «l’accompagnement» des jeunes ainsi que leurs familles et tous les acteurs du monde éducatif (cadres de l’enseignement, inspecteurs, chefs d’établissement, personnel enseignant…).
Outre le gain d’emplois promis par ce modèle d’une école numérique française ainsi dessiné, il y a aussi les exemples de réussite offerts par "les pays obtenant les meilleurs résultats dans les classements internationaux, comme la Finlande et la Corée du Sud, [qui] sont justement ceux qui ont investi le plus dans les technologies de l'information et de la communication pour l'éducation (TICE)".
Alors avec des TBI (Tableaux blancs informatiques), des mp3, des connexions à haut débit dans tous les établissements scolaires, nous allons améliorer les performances de notre système éducatif ?
La technologie au secours de l’éducation ?
Une nouvelle triangulation de l’apprentissage du savoir s’annonce qui n’est pas sans risque de déshumanisation et d’asocialité.
Alors la cyber éducation est peut-être à consommer avec modération.
AMC
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